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Me and my cowboy

19 juillet 2011

Arrêt des émissions

On me souffle dans l'oreillette que ce lieu dépérit.

 

Mais c'est une bonne nouvelle.

 

J'ai trouvé l'interrupteur. Le jour où j'ai compris que tu ne comprenais rien à ce que je te disais. Que tu ne voyais même pas de quoi je parlais. En toute bonne conscience, si j'ose dire.

 

Alors ça a fait "basta" dans ma tête. Je t'aime, hein. Mais plus pareil. Plus de désir, plus d'envies, plus de rêves. Juste ce lien particulier entre nous.

 

Et sans trop savoir ce qui découle de quoi, il y a un beau garçon qui me charme et me séduit, alors j'ai décidé d'être dispo pour voir où allaient mener ces papillons.

 

Et puis voilà. Personne ne va mourir tout de suite.

 

Mais pour ce blog, c'est fini, je crois.

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27 juin 2011

Colère

Tu m'énerves, à aller inventer chez les autres les raisons de justifier tes refus, tes lâchetés.

 

T'as pas de couilles. Ce qui explique bien des choses, en fait.

 

Et ces jours-ci, j'ai juste envie de t'envoyer un énorme "connard" à la figure.

 

Je sais ce que ma colère a d'excessif, d'effet balancier, de trop pleins avalés pendant très longtemps (j'ai pas dit trop).

 

Ce qui nous distingue, toi et moi, c'est la lucidité, en fait.

 

Assume. Merde.

20 juin 2011

Mon o rayé

Hey, cowboy de pacotilles, de kermesse d'école, avec ton faux cheval et ton chapeau,

 

Il s'est passé un truc étrange la semaine dernière. Selon ma grande formule consacrée quand je fais des stats de bureau, c'est l'heure où les chiffres parlent.


Et ils ont parlé. D'un ridicule pourcentage est né la "redécouverte" de quelqu'un avec qui on se tourne un peu autour, en tout cas il me semble, avec la curiosité de qui est l'autre et le flair à se chercher des familiarités. Ca met du doux au coeur.

 

Et je te regarde et je me dis que non, tu n'as pas les moyens de me rendre heureuse. Je te le dis. Et que pour moi, sans que ça change la profondeur de ce que je ressens, ça en change la forme. Tant mieux. Ca va tout rendre plus simple. On peut faire les polochons géants.

 

Ta réponse disait : "je ne crois pas que ça soit si simple". Tu avais une toute petite mine pour notre ciné du dimanche. Après le concert où je n'ai pas voulu aller manger avec toi après.

 

Et ce matin sms d'encouragements à la reprise, c'est rare que ça soit toi qui prems.

 

Ca me fait sourire. Mais pas palpiter. Je ne te fais plus confiance pour ça. Ca ne marche plus de tirer un coup sur la laisse.

16 juin 2011

Let's face it

Disons le honnêtement : même si tu le voulais (consciemment), tu ne serais pas capable de me rendre heureuse dans l'état actuel de toi.

 

Alors tu veux bien enfin écouter ce que je te dis ? La main, les bras. Point. Pas un millimètre de plus. Pas un baiser dans le cou, un doigt qui se promène, un "on" inopportun.

 

Et on y arrivera. A être des amis. A rester des amis. Et quand il y aura un vrai cowboy, un qui n'a pas peur de monter sur son cheval, qui viendra m'embarquer, et bien on arrivera à le rester, avec moins de bras et de mains.

 

Et si tu ne peux pas, hasta la vista, cowboy. De pacotille.

 

Juste un truc. Tu sais quoi ? Je ne voudrais pas être dans tes pompes le jour où tu vas te reconnecter avec toi même. Et là c'est l'amie qui parle. Parce que la prise de conscience, si elle arrive, sera violente pour toi. Pas juste en ce qui me concerne.

 

Mais ça c'est ton affaire.

15 juin 2011

Je ne sais pas...

Je ne sais pas ce qui te passe par la tête.

Hier tu te réjouissais d'avoir de la lecture, de rentrer chez toi, de pouvoir lire.


Grand silence, alors je te dis bonne nuit en rigolant que j'ai dû te consterner ou t'endormir. Pas du tout, réponds-tu, mais coup de fil long qui a mangé ta soirée.


Et ce matin tôt (pour toi), petit mot pour dire qu'il fallait que tu finisses ton mail, assorti d'un grand sourire et d'un je t'embrasse.

 

Sachant que tu ne vas y mettre que ta sauce habituelle, je ne vois pas bien ce qui te rend si souriant.

 

Mais bon.

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14 juin 2011

Embryon de réaction

Tu as fini par te cabrer, un peu, à force de messages détournés et de questions sans appel (t'es cruel ou inconscient ?).

Mais je doute qu'à mes mots tu trouves une explication qui soit claire dans toute autre tête que la tienne.

 

Mais...

 

Tu as pour projet de proposer une création de poste pour toi, au siège de ta boîte, qu'on voit quasi de mes fenêtres. Au bout de la ligne 1*, dis-je, pratique. Oui, pratique, c'est à G., réponds-tu.

 

Quand tu t'endors tu me serres avec un bel instinct de propriétaire et tes mains trouvent leur place fort naturellement contre, sur, entre mes seins. Elles, elles savent, quoi.

 

Tu continues avec tes "on" improbables.

 

Bref.

10 juin 2011

Imperturbablement

T'en as pris, indirectement, plein la gueule, hier, dans mon billet de l'officiel.


Et pourtant hier soir, sms l'air de rien. Ok pour dire que tu étais crevé et ça n'a pas duré. Mais sur mon coup de tristesse du soir tu as envoyé des bras.

 

Imperturbablement.


Va te faire foutre, cas psychiatrique...

8 juin 2011

Let go

On a papoté hier soir et tu m'as raconté qu'il n'y avait plus de train samedi nuit, que tu es rentré à pieds jusqu'à Paris. Tant pis pour toi, répondais-je, t'avais qu'à faire demi tour.

Il t'a semblé que c'était pas le jour. Pfff. Si tu penses que je vais te laisser sous l'eau. Mais tant pis pour toi quand même. T'as qu'à te laisser aller un peu.

 

Illumination d'hier soir. Si je n'arrive pas à lâcher prise, complètement, avec toi, c'est parce que tes grands discours incompatibles avec certains de tes gestes, ça veut dire soit que tu as un gros blocage bien comme il faut (ça c'est pas un scoop), soit que tu es un odieux cruel enfoiré de connard.

 

Et comme je SAIS de façon incontestable que cette deuxième option n'est pas vraie, je n'arrive pas à me faire VRAIMENT, suffisamment, une raison.

 

Tant pis pour moi, parce que l'Epiphanie, t'es pas près de l'avoir, j'ai l'impression...

7 juin 2011

L'usage du "on"

Ah, que tu mets ce "on" à toutes les sauces !

Pour parler de ce qu' "on" va bidouiller dans mon appart comme couleurs et changement de place des meubles, pour parler d'endroits où aller...

On se parlait de la Corse samedi, je dis qu'il y a un hébergement là-bas, mais avec un adorateur du fruit qui pue, tu me dis "tant qu'il ne se met pas sous le vent par rapport à là où "on" est".

Tu sais que je n'avais pas dit "on ira ensemble ?" ?Tu sais que la plupart des gens n'ont pas DEUX chambres d'amis à mettre à notre disposition ? Tu sais que... "on". Merde, quoi.

Mais bon.

Je ne sais pas ce que tu as pensé de mon mail. Je ne veux pas savoir, en fait. Au mieux, réfléchir un peu. Au pire, rien.

Et moi, je me suis un peu détendue de cette micro distance que j'ai mise entre nous. Presque rien, mais juste un peu pour me soulager.

Et j'ai aimé ouvrir un oeil à minuit 40, sourire à ton message, me rendormir.

 

Pas sortie de l'auberge, quand même.

 

6 juin 2011

Distance

Petite distance que je mets entre nous.

Je ne sais pas si dans ton aveuglement, tu la perçois seulement. Oui samedi soir, un peu. Mais merde.

Si en plus tu es fier de ne pas être comme les autres sans même prendre conscience du mal que tu fais au passage... j'ai plus qu'à me mettre un peu à l'abri, là, le temps que ça aille mieux.

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